Mpox and Chicken Pox Coinfection Complicated by Acute Urinary Retention: A Case Report.

INTRODUCTION: Mpox and Chicken pox have similar presentations, sometimes causing a diagnostic dilemma. Reports have emerged of coinfections, mostly in the central African region. CASE REPORT: Index patient is a 23-year-old female who presented with a 2-week history of exanthematous vesiculopustular rashes which started from her genital and groin area with accompanying vulvar swelling. It was then followed by other similar rashes involving mainly her face and limbs with some on her trunk. There was also an associated high grade continuous fever. Rashes were painful and itchy with associated cervical and axillary lymphadenopathy. Following admission, patient had increasing dysuria with accompanying acute urinary retention due to the discomfort accompanying micturition which was relieved by urethral catheterization and resolved with intravenous infusion and parenteral empirical antibiotics for superimposed bacterial infection. Polymerase chain reaction from her skin lesion sample was positive for both monkey pox and chicken pox. She was also given a course of acyclovir and made an uneventful recovery after 12 days of admission and was discharged. CONCLUSION: We report a rare manifestation of acute urinary retention in a HIV-negative female patient with Mpox and chicken pox co-infection.

INTRODUCTION: La variole du singe et la varicelle ont des présentations similaires, ce qui pose parfois un dilemme diagnostique. Des cas de coinfection ont été signalés, principalement dans la région de l'Afrique centrale. RAPPORT DE CAS: La patiente de référence est une femme de 23 ans qui a présenté pendant deux semaines des éruptions vésiculo-pustuleuses exanthémateuses qui ont commencé dans la région génitale et l'aine, accompagnées d'un gonflement de la vulve. D'autres éruptions similaires ont suivi, touchant principalement le visage et les membres, mais aussi le tronc.Une fièvre élevée et continue a également été associée à ces éruptions. Les éruptions étaient douloureuses et prurigineuses, avec une lymphadénopathie cervicale et axillaire associée. Aprèsson admission, la patiente a présenté une dysurie croissante accompagnée d'une rétention urinaire aiguë due à l'inconfort de la miction, qui a été soulagée par un cathétérisme urétral et résolue par une perfusion intraveineuse et une antibiothérapie parentérale empirique pour une infection bactérienne superposée. La réaction en chaîne de la polymérase à partir de l'échantillon de sa lésion cutanée était positive pour la variole du singe et la varicelle. Elle a également reçu un traitement à l'acyclovir et s'est rétablie sans incident après 12 jours d'admission et a été autorisée à sortir. CONCLUSION: Nous rapportons une manifestation rare de rétention urinaire aiguë chez une femme séronégative atteinte d'une co-infection par la variole du singe et la varicelle. Mots-clés: Mpox, Varicelle, Nigeria, Épidémie, Rétention urinaire, Lymphadénopathie.

Acute Kidney Injury after First Dose of AstraZeneca COVID-19 Vaccine Managed in a Nigerian Hospital.

INTRODUCTION: The association of kidney disease and COVID-19 vaccination has been reported with minimal change disease being a common presentation. CASE REPORT: Index patient is a 54-year-old female who presented with a history of reduction in urine output within 3 weeks of receiving the Oxford-AztraZeneca COVID-19 vaccine. Her serum creatinine on admission was 1,057 µmol/L with a premorbid serum creatinine of 78 µmol/L. Her vital signs were stable. She was on antihypertensive and antidiabetic medications for hypertension and diabetes mellitus, respectively. Renal biopsy was precluded by her morbid obesity and she was commenced on oral prednisolone. She had 5 sessions of hemodialysis and her serum creatinine gradually reduced to 106 µmol/L, and she is being followed up on an outpatient basis. CONCLUSION: We report a case of a female patient with acute kidney injury following COVID-19 Oxford-AztraZeneca vaccination. Further studies are required to better understand the pathogenesis of the renal affectation post-vaccination.

INTRODUCTION: L'association de la maladie rénale et de la vaccination COVID-19 a été signalée, la maladie à changement minimal est une présentation courante. RAPPORT DE CAS: La patiente à l'étude est une femme de 54 ans qui a présenté des antécédents de réduction du débit urinaire dans les 3 semaines après avoir reçu le vaccin COVID-19 d'Oxford-AztraZeneca. Sa créatinine sérique à l'admission était de 1 057 µmol/L avec une créatinine sérique prémorbide de 78 µmol/L. Ses signes vitaux étaient stables. Elle prenait des médicaments antihypertenseurs et antidiabétiques pour l'hypertension et le diabète sucré, respectivement. Une biopsie rénale était impossible à cause de son obésité morbide et elle a été mise sous prednisolone par voie orale. Elle a subi 5 sessions d'hémodialyse et son taux de créatinine sérique a progressivement à 106 µmol/L, et elle est suivie en ambulatoire. CONCLUSION: Nous rapportons le cas d'une patiente souffrant d'une lésion rénale aiguë après la vaccination par le COVID-19 Oxford-AztraZeneca. D'autres études sont nécessaires pour mieux comprendre la pathogenèse de l'affectation rénale post-vaccination. Mots-clés: Vaccin COVID-19, Événement Indésirable, Lésion Rénale Aiguë.

Safety Practices and Covid-19 Antibody Positivity among Health Care Workers in a Tertiary Hospital in Southern Nigeria.

INTRODUCTION: The COVID-19 pandemic has surpassed 211 million cases and 4.4 million deaths globally. Seroprevalence among Health care workers (HCWs) ranges from 10.6% (Qatar) to 45.1% in Southwest Nigeria. We surveyed Staff of the University of Uyo Teaching Hospital (UUTH), Uyo - Nigeria to determine the prevalence of IgM and IgG seropositivity, compliance with safety practices and IgG seropositivity risk factors. METHODS: A cross-sectional survey of 180 asymptomatic hospital staff done in July 2020. A 33-item structured questionnaire was completed after informed consent with adequate safety practice defined as ≥75% compliance rate. The COVID-19 IgM/IgG Rapid Test Cassette (Zhejiang Orient-Gene Biotech, China) was used. Statistical analysis was done using SPSS version 20 with p ≤ 0.05 considered significant. Ethical approval was obtained prior to the study. RESULTS: The 166 participants (64.5% female) with valid results had a mean age of 38.8±7.9 years. Twenty five patients were IgM positive (15.1%) while 47 were IgG positive (28.3%). Only hand hygiene was adequate (90.4%) with social distancing and face mask usage inadequate at 55% and 60.2% respectively. Compared to those aged <30years, staff aged 30-39years and 40- 49years had significantly lower odds of IgG positivity (0.01 and 0.02 respectively). Nurses/CHOs and Administrative staff had significantly higher associations with IgG seropositivity compared to Doctors. CONCLUSION: Over a quarter of HCWs in UUTH Nigeria had positive COVD-19 IgG. Safety practices were mostly inadequate with Nurses and Administrative staff having higher risk of IgG seropositivity. Improved compliance with safety practices by hospital staff may reduce prevalence rates. Keywords: Safety practices, COVID-19, antibody positivity, health care worker, Nigeria.

INTRODUCTION: La pandémie de COVID-19 a dépassé les 211 millions de cas et 4,4 millions de décès dans le monde. La séroprévalence parmi les travailleurs de la santé (TS) varie de 10,6% (Qatar) à 45,1% dans le sud-ouest du Nigeria. Nous avons mené une enquête auprès du personnel de l'University of Uyo Teaching Hospital (UUTH), Uyo - Nigeria pour déterminer la prévalence de la séropositivité IgM et IgG, la conformité aux pratiques de sécurité et les facteurs de risque de la séropositivité IgG. MÉTHODES: Une enquête transversale auprès de 180 membres asymptomatiques du personnel hospitalier réalisée en juillet 2020. Un questionnaire structuré de 33 items a été rempli après consentement éclairé, les pratiques de sécurité adéquates étant définies comme un taux de conformité ≥ 75 %. La cassette de test rapide COVID-19 IgM/IgG (Zhejiang Orient-Gene Biotech, Chine) a été utilisée. L'analyse statistique a été réalisée à l'aide de SPSS version 20, avec p ≤ 0,05 considéré comme significatif. L'approbation éthique a été obtenue avant l'étude. RÉSULTATS: Les 166 participants (64,5 % de femmes) ayant des résultats valides avaient un âge moyen de 38,8±7,9 ans. Vingt-cinq patients étaient positifs aux IgM (15,1%) tandis que 47 étaient positifs aux IgG (28,3%). Seule l'hygiène des mains était adéquate (90,4 %), la distance sociale et l'utilisation du masque facial étant inadéquates (55 % et 60,2% respectivement). Par rapport aux personnes âgées de moins de 30 ans, le personnel âgé de 30 à 39 ans et de 40 à 49 ans présentait une probabilité significativement plus faible de positivité aux IgG (0,01 et 0,02 respectivement). Les infirmières/chefs de service et le personnel administratif présentaient des associations significativement plus élevées avec la séropositivité IgG par rapport aux médecins. CONCLUSION: Plus d'un quart du personnel soignant de l'UUTH Nigeria présentait des IgG positives au COVD-19. Les pratiques de sécurité étaient généralement inadéquates, les infirmières et le personnel administratif présentant un risque plus élevé de séropositivité aux IgG. Un meilleur respect des pratiques de sécurité par le personnel hospitalier pourrait réduire les taux de prévalence. MOTS CLÉS: Pratiques de sécurité, COVID-19, positivité des anticorps, personnel de santé, Nigeria.

Lassa fever outbreak in adolescents in North Central Nigeria: report of cases.

BACKGROUND: Lassa fever (LF) is a viral haemorrhagic fever endemic to West Africa. The clinical presentation and course is variable, making diagnosis difficult. AIM: To report the outbreak and identify the common clinical presentations of LF in paediatric patients in Jos, Plateau State, North Central, Nigeria. METHODS: This was a retrospective review of patients managed for LF during the June-August 2017 outbreak. LF was suspected in cases with: fever of less than 3 weeks' duration that had not responded to antimalarials or antibiotics, myalgia, abdominal pain, prostration and history of contact with any person diagnosed with LF. LF was confirmed by a positive reverse transcriptase polymerase chain reaction test (RT-PCR). RESULTS: Ten adolescents were studied. The common presenting complaints were fever (100%), prostration (90%) and headache (70%) while the commonest clinical signs were pyrexia (temperature >38.0oC; 90%), prostration (80%) and abdominal tenderness (80%). Leukocytes were present in urine in 60%. Eight individuals recovered fully, one adolescent died and one developed intestinal perforation necessitating laparotomy. CONCLUSION: In settings such as North Central Nigeria, LF should be suspected in any patient with fever that is unresponsive to antimalarials and antibiotics, especially in the presence of prostration, tachypnoea, tachycardia or abdominal tenderness. Early diagnosis and treatment is needed to reduce mortality from the disease and protect against transmission to health personnel.